Les vœux du 31 décembre 2014

Publié le 31 décembre 2014 par David Nogent

Et voici venu le moment des vœux… Il paraît que c’est une tradition, et de nombreuses personnalités s’y collent… Il est donc, peut-être, normal que je m’y colle aussi.
Que pourrait-on souhaiter pour cette année 2015? C’est difficile à dire, parce que nous sommes dans une période où beaucoup d’entre nous doivent se serrer la ceinture. Et les annonces, dans les médias, de certaines augmentations (SNCF, EDF, GDF, etc..) et la hausse de certaines taxes locales auront vite fait d’en démoraliser plus d’un. Mais, plus que jamais, il faut continuer de se battre et avancer.

2015 marque ma cinquième année d’activité professionnelle. Et même si les temps sont assez difficile, je continue mon avancée et je me réinvente au fur et à mesure que mes visions professionnelles évoluent.

Pour 2015, je souhaite, plus que jamais, que la Musique soit présente autour de nous, qu’elle soit cette énergie positive qui nous donne la force de briser tous les obstacles que nous pouvons rencontrer. J’espère que les gens comprendront que les personnes qui soutiennent la musique sur support physique ne sont pas des illuminés, mais de véritables passionnés.
J’espère aussi que de nouvelles opportunités, notamment en matière de vidéos musicales, se présenteront. J’adore ce type de création et j’aimerais pouvoir en faire d’avantage…
Il serait bien aussi que, pour cette année 2015, nous soyons plus solidaire les uns les autres. Ne pas laisser un camarade sur le bord de la route serait déjà une bonne chose à faire. Il serait bien également que nous soyons plus des êtres sensibles que ces automates que la vie moderne a fait de nous.

Voilà, les grosses lignes de ce que je peux nous souhaiter pour cette nouvelle année… et bien entendu beaucoup de bonheur parce que chacun d’entre nous le mérite.

YOUR OWN FILM – 12500 Hz

Publié le 31 décembre 2014 par David Nogent

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Le 13 novembre dernier, YOUR OWN FILM revenait sur la petite scène de la Taverne Elektrik d’Amiens. Ce soir là, j’avais en tête de réaliser une meilleure captation du concert que celle du soir où j’ai réalisé « IFFI MEETS YOUR OWN FILM ». Malheureusement, mon matériel vieillit mal et j’ai dû prendre la décision de résumer le concert en un petit clip. C’est d’ailleurs la seule vidéo à ce jour contenant une version électrique de « 12500 Hz », chanson qui ne figure d’ailleurs sur aucun disque du groupe.
Le clip est le témoignage de l’énergie du groupe et de la complicité qui règne au sein du groupe, elle se voit particulièrement dans une scène où Flavie secoue son clavier pour mimer le son des cymbales. Cette séquence est vraiment très poétique et on a du mal à croire que cette séquence n’est pas travaillé d’avance.
Cette vidéo contient également une « intro » montrant Sam aux claviers. Il y improvise quelques notes afin de permettre à Romain, l’ingénieur son, de faire ses réglages. C’est un moment assez privilégié car on voit rarement Sam aux claviers sur scène.
Il y a aussi un « outro » où l’on peut voir Bérenger en coulisse. Cette séquence se passe d’ailleurs avant le concert. Bérenger attend le reste du groupe pour commencer à jouer. En attendant, il discute avec Romain et ne semble pas du tout faire attention à la caméra.
L’expression de son visage au moment de la scène m’a donné envie d’en faire le final car on pourrait presque lire sur son visage « Quoi?! C’est déjà fini?!! ».
Même si cette vidéo comporte de nombreux défauts au niveau de l’image, elle reste une des meilleures que j’ai réalisé car elle comporte des instants vraiment extraordinaires, et ce sont ces instants là que j’aime immortaliser.
De plus, la vidéo a été très bien accueillie par les membres du groupe. C’est même Bérenger qui m’a poussé au cul pour la mettre en ligne et la partager.
Bref, cette vidéo m’a donné l’impression d’avoir décroché une étoile.

Le Projet SNAKE

Publié le 30 décembre 2014 par David Nogent

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Le projet SNAKE consiste dans la réalisation d’une vidéo démontrant mes capacités à assembler les composants d’un ordinateur. SNAKE est le nom de la machine avec laquelle je dois travailler. Ce n’est donc pas un simple amusement. De plus, il y a aussi des impératifs budgétaires, du coup, le prix des pièces acquises à son importance.

SNAKE 1.0 :

Dans sa version de départ, le projet SNAKE utilise les éléments de base suivants :
– une carte mère MSI 970 Gaming
– un processeur AMD FX-9590 pouvant aller jusqu’à 5 GHz
– un ventirad Cooler Master Hyper TX3 EVO pour le refroidir (choix imposé par le budget)

d’autres composants sont aussi ajoutés pour le travail que je dois effectuer avec la machine :
– une tour LDLC Danube V2 (qui n’est plus disponible sur le marché) qui sera customisée
– une alimentation Axxyon ATX 550W (qui grillera après trois jours d’utilisation)
– de la mémoire vive : G.Skill DDR3 PC3-12800 – 2x8Go
– une carte graphique MSI GeForce GT730, 4Go
– une carte d’acquisition vidéo analogique : Asus My Cinema P7131 Hybrid PCI
– une carte FireWire PCI pour brancher un camescope DV
– un SSD : Intel Cherryville 520 Series 120Go qui contiendra Windows
– un disque dur 2,5″ TOSHIBA 2To qui contiendra tous les gros programmes et jeux
– un disque dur 3,5″ HITACHI 2To pour stocker les documents, les vidéos
– deux Ventilators Corsair AF120 Quiet Edition 120mm LED Blue pour ventiler la machine
– deux équerres USB 2.0

La vidéo suivante montre l’installation de SNAKE 1.0 :

Comme j’ai réalisé ce montage en temps réel avec des accélérations pour qu’il ne soit pas trop long, une seconde vidéo montrant, dans un but pédagogique, l’installation du ventirad a été réalisée.

Le ventirad utilisé dans cette vidéo est à vendre dans la mini-boutique.

Déjà dans sa conception, SNAKE est censé évoluer, notamment, par le changement d’une carte graphique plus performante. Mais, le processeur FX-9590 est ce qui existe plus puissant en matière de processeur (puissant, ce n’est peut-être pas le bon terme, ni le plus approprié). En effet, ce processeur dispose d’un TDP (Thermal Design Power ou Enveloppe Thermique) de 220 W. Dit autrement, il est énergivore. Par conséquent, le ventirad peine à le refroidir. Il faut alors mettre les ventilateurs à fond pour n’obtenir qu’une température de 30°C et le processeur monte très vite à 50°C dès qu’il est sollicité. De ce fait, l’alimentation qui datait déjà de deux a fini par griller. Il a donc été nécessaire de faire une mise à jour.

SNAKE 1.1

Pour ne pas prendre de risque, j’ai opté pour une alimentation de 700W, sachant par avance que je n’ai pas l’intention de faire de SLI ou de Crossfire (c’est à dire adjoindre plusieurs cartes graphiques et combinés leur puissance).

Pour le refroidissement, étant donné que le processeur FX-9590 ressemble à une mini-centrale nucléaire (moins dangereuse ceci dit), il était donc nécessaire d’installer un système de refroidissement liquide.
J’ai donc opté pour le kit watercooling de Cooler Master Seidon 120V.

La présente vidéo vous montre l’installation d’un tel kit sur un socket AMD.

Le kit watercooling est vraiment très efficace. Dans la ventilation par défaut, la température est d’environ 25-26°C. Il peut monter jusqu’à 35°C lorsqu’il est très sollicité. La différence par rapport au ventirad est donc conséquente. De plus, si l’on règle la ventilation à son maximum, le processeur peut atteindre la température de 15°C, mais, elle descend rarement en dessous de 18-20°C lorsque le processeur est sollicité.
Conclusion : c’est un bon système de refroidissement que je recommande.

VESPERART sur la scène du FestiVaux 2014

Publié le 29 décembre 2014 par David Nogent

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VESPERART est une formation récente où l’on retrouve deux musiciens du groupe OAK : Géry, à la guitare, et Maxence, à la batterie. A eux, se joignent Paul, à la guitare et au chant, ainsi que Loïc, à la basse.
Le groupe est choisi pour ouvrir la 3ème édition du FestiVaux. Il incarne également l’esprit même du FestiVaux qui est de soutenir des petits groupes locaux, non habitués aux moyennes et grandes scènes.

Si vous avez aimé cette vidéo, n’hésitez pas à soutenir son auteur en faisant une petite donation…

YOUR OWN FILM ou le rock émotionnel

Publié le 29 décembre 2014 par David Nogent

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Comme je l’ai laissé sous-entendre dans un précédent article, je dois la rencontre avec le groupe YOUR OWN FILM grâce au guitariste d’IFFI, Romain. Plus précisément, j’ai vu YOUR OWN FILM pour la première fois sur scène lors de la deuxième édition du FestiVaux en 2013.
La prestation scénique de Sam, le chanteur du goupe (photo ci-dessus), m’a complètement coupé le souffle. Il bouge dans tous les sens, tel un électron libre que rien ne peut arrêter… En plus, ce soir là, il est également à la basse. Ce qui donne une dimension encore plus spectaculaire à son jeu de scène.

Le groupe est actuellement formé de :
– Sam, au chant
– Bérenger, à la basse (qui est également Ingénieur Sonore)
– Joseph, à la guitare,
– Flavie, aux claviers
– Max, à la batterie

Jusqu’au 6 mars 2013, il y avait un sixième membre Robert (que vous pouvez voir dans « IFFI MEETS YOUR OWN FILM ») qui était à la basse, tandis que Bérenger était la seconde guitare du groupe.

Le lendemain du concert, ou presque, je me précipite pour me procurer leur album « 01 ».

« 01 », sorti en 2012, est souvent présenté comme le premier album du groupe, toutefois, il s’agit du second. De plus, Sam a commencé à travailler dessus avant même que le groupe ne soit formé. Bref, on pourrait résumer la situation un peu de cette façon : « Your Own Film, c’est l’histoire d’un mec qui écrit le film de sa vie… » Enfin, c’est plutôt la bande sonore de sa vie, et même de notre vie. Car cet opus nous touche également nous les auditeurs qui nous identifions aux différents thèmes abordés.
Bien que le style musical soit du rock, il y a dans cette musique une émotion perpétuellement présente. Et la palette est assez bien fournie : de l’espoir, de la tristesse, l’amour, la haine (comme dualité de l’amour). Ecoutez bien la voix de Sam sur certaines chansons et vous aurez envie de pleurer. C’est incroyable, vous êtes touchés au plus profond de vous-même. Je dirais même que ça prend les tripes. Et d’ailleurs, c’est mathématiquement logique, car Sam y met tout son cœur et son âme.
Cette bande sonore est une part de lui-même qu’il nous offre, mais il est allé au-delà de lui-même pour se fusionner avec le reste de l’humanité. Et c’est cela qu’incarne le groupe, car ils ne font qu’un sur scène, la complicité entre eux se voit de manière phénoménale.
« 01 », c’est une bande sonore de la vie créée avec poésie, un rythme d’enfer et des mélodies à vous faire fondre en larme.

En 2013, alors que le groupe participe au Tremplin de Mouy (60), consacré aux Espoirs Picards de la musique Rock, l’émission Rock’n’stock de la radio compiégnoise Graf’hit leur consacre une émission où Sam et Flavie y explique les origines du groupe…

Your Own Film by Squale Graf’hit on Mixcloud

YOUR OWN FILM, un groupe originaire d’Amiens (80), a su s’imposer au-delà du département, et même au-delà des frontières nationales, puisque le groupe est également connu en Belgique, à Liège et à Bruxelles.

« Sounds Of Pain » est le premier album de Y.O.F. (« debut album » comme on dit dans notre jargon anglo-saxon). Sam a réalisé les morceaux qui y figurent entre 1998 et 2001. Comme Sam l’explique dans l’interview sur Rock’n’stock, la conception de ce projet est très différente de « 01 » où il pose « des trucs sur un multi-piste ».
Néanmoins, le potentiel est bien présent. Cette album qui est presque exclusivement instrumental, avec de temps en temps, des effets de voix, comprend à la fois des sons sauvages et mélancoliques. L’album porte bien son nom. Car, c’est ici une bande son de nos émotions les plus sombres. Les prémisses de « 01 » sont là avec notamment le titre « December » dont certaines parties seront reprises dans « December Again » sur l’album « 01 », une dizaine d’années plus tard…

« ES 1-8 », sorti cet année, est un mini EP instrumental distribué de manière originale et complètement aléatoire. En effet, il est hors commerce. Le groupe le dépose ici et là dans les villes qu’il parcourt. Le but est de voir comment les gens vont réagir lorsqu’ils vont le trouver, par exemple, au détour d’une rue, sur un banc public. Vont-ils y jeter un oeil, le prendre, l’écouter… Ce disque, qui a même été déposé dans des endroits à l’étranger par diverses connaissances, n’a pas laissé indifférent les gens puisque, à ce jour, il a été récolté 250€ de dons grâce à lui.
Musicalement, le groupe (puisque ce projet a été réalisé par les membres du groupe) nous dévoile une autre facette de son univers musical.
On s’éloigne du style des 2 premiers albums. Toutefois, la notion d’émotion n’est pas oubliée. Ici, on explore les ambiances musicales, du moins dans les 7 premiers morceaux, le 8ème étant chanté dans une dualité de voix masculines et féminines. Les ambiances sont variées avec une dominance du clavier qui vient apporter une touche de sensibilité, quelques sons « électro » dans la rythmique. Certains morceaux m’ont même plongé dans un univers de manga « Fantasy Fairy » (désolé, les mots me manquent).
Bref, des ambiances qui stimulent l’imagination totalement libre de l’auditeur.

Je vous propose d’écouter l’émission Rock’n’stock de juin dernier qui était consacrée à ce disque, à l’occasion de la Fête de la Musique, afin de vous faire votre propre idée sur ce projet.

« Your Own Film » EP by Squale Graf’hit on Mixcloud

L’album « 01 » est disponible dans notre mini-boutique, sur Ebay USA via Muzik On Vinyl (car je pense sincèrement que le groupe peut séduire le public américain).

Les Arts Visuels, une passion

Publié le 29 décembre 2014 par David Nogent

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En 2004, alors que je suis à la Fac de Droit, à l’Université de Picardie Jules Verne, je cherche à me réorienter pour faire ce que j’ai vraiment envie de faire : du montage vidéo ainsi que de la création multimédia. Malheureusement, il n’existe aucun lieu pour apprendre cela (du moins à cette époque). Les formations de l’INA coûte une fortune. Les seules solutions qui me sont possibles: l’ESAD (l’Ecole Supérieure d’Art et Design d’Amiens) qui dispose d’un cursus multimédia ou un BTS Audiovisuel. Hélas, le premier ne veut pas de moi car je n’ai pas de bagages artistiques ni de book à présenter. Le second, je suis refusé parce que je n’ai pas de parcours scientifiques ou parce que je ne vis pas dans la bonne région.
Du coup, je suis sorti du système présentiel pour passer un DEUST de Technicien en Systèmes d’Informations et de Communications auprès de la Formation A Distance de l’Université de Picardie Jules Verne, avec un enseignement dirigé par l’Institut Supérieur des Sciences Et Techniques. L’informatique sera donc pour moi l’opportunité de toucher aux arts visuels, et internet un bon moyen de partager mes créations…

Petit appareil de 4 Mpx que mes grands parents m'avaient acheter pour débuter. — Petit appareil de 4 Mpx que mes grands-parents m’avaient acheter pour débuter.

Tout d’abord, je me suis mis à la photographie avec un petit appareil de 4 Mpx. Je me suis essayé aussi au dessin mais j’avoue avoir d’énormes lacunes dans cette discipline.
Vers 2010, en prenant les concerts du groupe IFFI en photo, je me suis vite aperçu que le petit appareil que mes grands-parents m’avaient offert était assez limité.
Je l’ai donc remplacé par un Sony DSC-H2 de 6 Mpx avec lequel je travaille encore.

Pour la vidéo, si, au lycée, j’utilisais un camescope Sony Hi-8, aujourd’hui, j’utilise un camescope DV de Samsung.

J’adore faire du montage vidéo et l’art du vidéo clip est parfois un vrai challenge pour moi qui ai toujours fait des vidéos trop longues…Il y a constamment dans cette disciple des défis à relever et j’adore ça. Je vendrais mon âme pour pouvoir réaliser une vidéo avec de véritables collaborateurs… Mais, il n’est pas toujours facile de trouver sa place…

Voici deux films que j’ai réalisé en 2004 que j’ai ajouté à mon dossier pour ma candidature au BTS Audiovisuel. Ces films faisaient partie d’un projet proposé à la ville d’Amiens, « Digital Amiens », qui fut refuser car ces films n’étaient pas assez orientés vers le spectacle.

LES TABLEAUX D’UN FESTIVAL

LE MARCHE SUR L’EAU D’AMIENS

OAK sur la scène du FestiVaux 2013

Publié le 28 décembre 2014 par David Nogent

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Je vous ai dit, précédemment, qu’en traînant, avec le groupe IFFI, j’avais fait quelques rencontres. Le groupe OAK fait partie de ces groupes amis que je me suis mis à suivre de prêt. Une nouvelle fois, rien de très étonnant là-dedans… Mickaël, le chanteur du groupe, est l’une des plus anciennes personnes que je connais depuis l’école primaire. Il fut aussi la première personne inconnue qui m’adressa un jour la parole. Il n’en fallait pas d’avantage pour que je sois marqué à jamais par son charisme…

Bref, OAK est un groupe aux influences bien précises… Le Rock Français plane aussi de sa tête (même si parfois les paroles sont en anglais)… L’ombre de NOIR DÉSIR n’est jamais très loin. Il suffit d’entendre quelques morceaux pour le comprendre.

Le groupe est formé de quatre musiciens :
– Mickaël, à la guitare et au chant
– Géry, à la guitare
– Philippe, à la basse
– Maxence, à la batterie

Durant l’année 2013, c’est au tour de ce groupe que je passe la plus grande partie de mon temps.

En novembre 2013, le groupe est choisi pour ouvrir la soirée du FestiVaux. C’est ce concert que je vous propose de regarder.

Si vous aimez cette vidéo, n’hésitez pas faire une petite donation (2 dollars), cela permettra d’aider au renouvellement du matériel audiovisuel.

De l’Amitié et de la Musique

Publié le 26 décembre 2014 par David Nogent

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Le 10 décembre dernier, le groupe IFFI (composé de Noémie au clavier et au chant, de Romain à la guitare, de Christopher à la basse et de Laurent à la batterie, ainsi qu’au chant) organisait son dernier concert au Bistrot St-Leu (Amiens) pour célébrer sept années d’amitiés et de créations musicales.
Il y a eu du monde ce soir là, des amis, dont certains musiciens eux-mêmes, et des inconnus qui découvraient le groupe pour la première fois. Et le succès était encore là…

Cette soirée aurait dû être, pour moi, l’occasion de réaliser ma dernière vidéo de l’année 2014… mais, pour être honnête, je n’en ai pas eu le cœur… En effet, la dissolution du groupe marque une page tournante dans l’histoire de notre musique locale, et l’année 2014 aura vu la dissolution de nombreux groupes picards. Celui-ci me touche bien particulièrement. Outre le fait que je connais la chanteuse et le batteur du groupe depuis l’école primaire, j’ai suivi ce groupe durant cinq ans, essayant d’immortaliser leurs plus grands moments. C’est donc aussi une page qui se tourne sur ces cinq années de ma vie passées avec eux.

Noémie, le 31/08/2013 au Festival Plein’Air de Béthancourt-en-vaux.

Au fil de ces cinq années, ils m’ont fait voyager, non seulement dans leur univers musical, mais aussi dans la région picarde où ils n’hésitaient pas à m’emmener à certains festivals pour que je puisse profiter du spectacle et de l’occasion d’immortaliser ces merveilleux moments. Car presqu’à chaque fois, mon appareil photo ou ma caméra m’accompagnait…

Laurent, durant la Fête de la Musique de Corbie, le 19/06/2010, pensant à ses prédécesseurs qui lui ont donné envie de faire de la musique…

De plus, chaque instant, chaque concert était une occasion de faire des rencontres. Et oui, des liens d’amitié se sont créés au fur et à mesure. Grâce à IFFI, j’ai découvert les groupes QUAI 7, OAK, GNSB, LES POMPIERS, YOUR OWN FILM, TOPSY TURVY et beaucoup d’autres…

IFFI, c’était bien plus qu’un groupe de rock progressif. C’était une vraie famille musicale, une bande de potes.

Bien entendu, lors de leur première radio à France Bleu Picardie, j’étais à l’écoute…

Le groupe IFFI se distinguait particulièrement pour les choix de ses musiques festives mais aussi pour ses reprises exceptionnelles. En effet, IFFI fait partie des rares groupes à avoir osé reprendre des titres de SUPERTRAMP ou encore KING CRIMSON.

La vidéo ci-dessus, réalisée avec le jeu des Sims 2, comprend la reprise « Breakfast In America », jouée en direct sur France Bleu Picardie. C’était un moment d’exaltation pour moi de les entendre ce jour là… Je me souviens que le présentateur de l’émission était impressionné par les reprises de SUPERTRAMP mais aussi surpris car si, la charmante, Noémie est la lead voice sur tous les morceaux composés par le groupe, c’est Laurent qui est au chant sur ces reprises, nous dévoilant ainsi ses talents cachés.

La vidéo ci-dessus contient la chanson « Sweet & Low ». Cette chanson, depuis, 2009, je l’ai vu évoluée de bien des manières. Tout d’abord, c’était un morceau instrumental avec seulement des vocalises. En l’entendant, je me sentais au paradis, au nirvana, dans un endroit où les rêves pourraient devenir réalité. Elle fut même baptisée « Sponge Cake » (petite évocation du biscuit BN) avant sa version finale.

Moi et les membres du groupe, à l’occasion du Festival d’Air Libre de Péronne, le 27/08/2011.

Le groupe IFFI a participé à de nombreux concerts où il était mis en concurrence avec d’autres groupes locaux pour obtenir un prix ou une aide pour développer ses projets musicaux. Le groupe en a remporté quelques-uns. C’était le cas, à Péronne, le 27/08/2011 et j’étais là… et pour moi, ça ne faisait aucun doute qu’il allait gagner.

Christopher, durant le Festival Plein’Air, le 31/08/2013.

Durant ces 7 années, la façon de créer et de travailler ensemble a évolué. Partant de quelques choses de très personnels, les membres du groupe se sont aussi inspirés de poètes Anglo-Saxons comme Shakespeare, Davis, Stevenson ou encore Tennyson.

Rock’n’stock IffI by Squale Graf’hit on Mixcloud

IFFI qui est un groupe originaire de Corbie, à une quinzaine de kilomètres d’Amiens, peut se vanter d’être un groupe populairement reconnu en dehors de son département.
Durant l’année 2013, le groupe est invité à participer à l’émission Rock’n’Stock sur Radio Graf’Hit, une radio locale de Compiègne. Au programme, une interprétation acoustique de leurs derniers morceaux.

Romain, le 31/08/2013.

Romain est un élément important dans cette bande de copains car outre le fait qu’il soit guitariste et saxophoniste, il est aussi ingénieur son. Et il collabore avec d’autres groupes amis mais, plus particulièrement, avec un groupe originaire d’Amiens, YOUR OWN FILM, qui a su s’imposer au delà des frontières françaises.

En mars 2014, le goupe YOUR OWN FILM organise un concert à la Taverne Elektrik, quartier St-Leu, à Amiens avec, un groupe originaire de Lille, GOOMH. Le groupe propose également à IFFI d’ouvrir la soirée.
C’est à l’occasion de cette soirée du 06/03/2014 que je réalise le film « IFFI MEETS YOUR OWN FILM ». Ce film, je l’ai gardé pour moi et quelques membres des groupes durant un certain temps et je me suis décidé de le mettre en ligne à la suite de la dissolution du groupe, car je voulais qu’il y ait une trace d’un des plus grands moments musicaux où deux groupes, deux styles s’affrontent, tour à tour, pour nous faire voyager et rêver.

IFFI sur la scène du FestiVaux, le 08/12/2012, un petit festival dont Romain et Laurent sont co-organisateur.

De plus, chez IFFI, comme chez YOUR OWN FILM, l’amitié et la musicalité sont présentes en permanence et en harmonie. Il est donc naturel pour moi de tourner cette page avec cette dualité artistique entre deux groupes qui comptent beaucoup pour moi.
Et ainsi, je fais de ce film mon dernier hommage à IFFI…

Un dernier merci à Noémie, Christopher, Romain et Laurent pour ces cinq années de richesse musicale dont je tire mes meilleurs souvenirs. En 1997, MICHAEL JACKSON chantait « Everyday create your history ». Et bien, durant ces cinq années, j’ai co-écrit une page d’Histoire avec vous. Merci.
Et merci aussi à tous ceux qui sont venu au Bistrot St-Leu leur dire « au revoir ».

En 2012, IFFI sort son premier mini album. Si vous avez apprécié leur musique, vous pouvez toujours acheter ce dernier.

Un marché autour du disque

Mis en avant

Publié le 14 décembre 2014 par David Nogent

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Depuis 2010, les entreprises David Nogent travaillent dans le monde culturel, et plus particulièrement dans la vente de disques en ligne. D’abord en important des produits culturels coréens et japonais, puis dans la défense du disque vinyle, en proposant des disques venus du monde entier.

La clientèle est internationale. Présente sur les réseaux Ebay en France et aux Etats Unis, l’entreprise réalise 60% de son chiffre d’affaire grâce au microsillon qui est très demandé à l’étranger. Parmi les pays demandeurs, on retrouve l’Angleterre, la Belgique, la Hollande, la Suisse, les Etats-Unis, la Russie, Israël, quelques pays du Moyen Orient et d’Amérique Latine.

Les 40% restants du chiffre d’affaire proviennent de la vente de disques compacts et de livres en France.

Passionné de musique et d’arts visuels, David Nogent suit également différents groupes locaux qu’il soutient de diverses manières, en immortalisant certains de leurs événements par la photographie ou le montage vidéo. Il participe à un festival de musique qui a lieu chaque année dans la petite commune de Vaux-sur-Somme.

David Nogent Enterprises

Une petite entreprise individuelle pas comme les autres…

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